Les maîtres du goût depuis 1908

Walravens NV prépare des alternatives de viande, de volaille et produits végétariens pour le secteur de la restauration et les grandes cuisines. Les fondations de l'entreprise ont été posées en 1908 par deux boucheries florissantes. Aujourd'hui, Walravens est basée à Jette et compte 45 employés enthousiastes. Bernard Walravens et sa sœur Anne sont à la tête de l'entreprise familiale.

Bruxelles c’est la diversité !

Pour l’entreprise Walravens, la diversité signifie donner aux gens la possibilité de développer leurs talents. L'âge, le sexe, la couleur, l'origine, la langue ou la religion ne jouent aucun rôle. Bernard Walravens, qui dirige l’entreprise, ajoute : "Nos employés sont le reflet de la réalité démographique de Bruxelles. Par exemple, 50 % de notre personnel est d'origine non-belge. La moitié d'entre eux ont des racines africaines et l'autre moitié vient d'autres pays européens."

En termes de genre, le pourcentage homme-femme est de 50/50 pour les postes administratifs et de 80/20 dans la production.

Talent et envie de travailler

Pour Bernard Walravens ‘le talent et les intérêts d'une personne, mais aussi son désir de travailler sont essentiels dans le recrutement et l'évaluation. Nous recrutons et évaluons les personnes uniquement sur la base des critères objectifs que nous définissons pour chaque description du poste. Le respect et l'égalité des chances sont des valeurs importantes dans nos opérations commerciales quotidiennes. Sur la base de cette philosophie, l'entreprise familiale choisit consciemment de ne pas coller d'indicateurs clés de performance en matière de diversité’.

Chaque employé compte (et apprend !)

Fatiha Sakouri est d'origine Marocaine et elle travaille depuis 21 ans chez Walravens en tant qu'employée polyvalente de production. Elle se sent très appréciée dans l'entreprise et a la possibilité de se développer et d'apprendre. "J'apprends ici tous les jours. Chaque employé dispose d'un espace pour développer de nouvelles compétences. Tout le monde compte. Nous sommes là les uns pour les autres et cela n'a pas de prix", conclut Fatiha.